maktouf – ALMADANYA https://almadanya.org Association pour le développement de la Tunisie Mon, 05 Mar 2018 11:48:04 +0000 fr-FR hourly 1 https://wordpress.org/?v=4.9.25 Entretiens avec Lotfi Maktouf : Almadanya, trois ans déjà https://almadanya.org/entretiens-avec-lotfi-maktouf-almadanya-trois-ans-deja-part-13/ Thu, 17 Apr 2014 15:22:25 +0000 http://almadanya.org/?p=1838 www.almadanya.org Entretiens avec Lotfi Maktouf, son fondateur et président, et auteur de« Sauver la Tunisie » paru chez fayard en Juin 2013 Pour Lotfi Maktouf, « Le succès de la révolution tunisienne se mesurera dans sa capacité collective à transformer la conquête des libertés en postes d’emploi, en pouvoir d’achat réel, en opportunités économiques, bref […]

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Entretiens avec Lotfi Maktouf, son fondateur et président, et auteur de« Sauver la Tunisie » paru chez fayard en Juin 2013

Pour Lotfi Maktouf, « Le succès de la révolution tunisienne se mesurera dans sa capacité collective à transformer la conquête des libertés en postes d’emploi, en pouvoir d’achat réel, en opportunités économiques, bref en dynamique de croissance réelle et en perspectives sociales. Le danger est que ces libertés demeurent lettre morte déposée sur des rayons vides, des ateliers fermés, des hôtels désertés, des dispensaires sous-équipés et des files interminables de chômeurs. » Cette affirmation de Lotfi Maktouf date d’avril 2011 déjà mai elle demeure vraie trois ans après le début de ce qui est appelé le « printemps arabe ».

« Démontrer que démocratie rime avec développement et justice sociale constitue aujourd’hui l’enjeu et le défi » dixit Lotfi Maktouf auteur de sauver la Tunisie paru chez fayard en juin 2013

Dès la révolution et loin du stérile vacarme politicien, Lotfi Maktouf et une petite équipe de Tunisiens expatriés ou localement installés, se sont posé » la question de savoir comment concrètement jouer un rôle dans la société civile. « L’unique motivation qui nous animait » selon Lotfi Maktouf « est celle de servir notre pays avec nos propres moyens, expérience, expertise et connaissances. » Lotfi Maktouf ne cherchait pas alors à « sauver la Tunisie » mais à faire la différence. C’est bien plus tard que Lotfi Maktouf, riche des enseignements et de ses recherches et visites qu’il décida d’ publier un livre « Sauver la Tunisie » publié chez fayard en juin 2013: un succès immédiat.

Nos visites, entretiens et consultations partout en Tunisie de février à mai 2011 ont permis à Lotfi Maktouf de tirer deux conclusions :

1. Le chômage déjà alarmant s’accroit depuis le 14 janvier. En 23 ans, personne n’a repensé le binôme système d’orientation / besoins du marché de travail, ni exploré par exemple les vertus de la formation professionnelle, clé de voûte de toute solidité économique et cohésion sociale.

2. La concentration de la richesse dans la zone côtière a relégué au rang de citoyens de seconde zone des populations entières et a privé les régions intérieures de toute attractivité économique.

C’est à partir de ces deux constats qu’Almadanya est née. Ses membres fondateurs ont voyagé dans la Tunisie post révolutionnaire pour écouter et réunir les principaux griefs et attentes de nos concitoyens. Il en ressort la ferme et immédiate détermination d’y répondre par une série de programmes concrets et immédiats. Simples et modestes certes mais vrais.

La question posée à Lotfi Maktouf : Almadanya : Fondation ou Association ?

La législation tunisienne ne permet pas selon Lotfi Maktouf la formation de fondations mais plutôt d’associations. C ‘est pour cela, le fondateur d’Almadanya Lotfi Maktouf a préféré se conformer à la loi en vigueur même si en réalité la structure de son entité s’apparente davantage à une fondation du fait que le financement provient de sa propre fortune. Mais pour Lotfi Maktouf, rein ne change au fond car l’objectif est d’être actif au sein de la société civile.

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La philosophie d’Almadanya telle qu’imaginée par Lotfi Maktouf

Pragmatisme, transparence et intégrité nous rappelle Lotfi Maktouf. Tous les programmes de l’auteur de « Sauver la Tunisie » sont opérationnels et sont nés de la constatation sur le terrain. Almadanya déclare Lotfi Maktouf est d’abord une association de développement. Elle est ouverte à toutes et à tous et ses programmes sont sans condition d’affiliation politique. Soutenir Almadanya n’est donc pas en contradiction avec une appartenance politique quelle qu’elle soit pourvu, ajoute Lotfi Maktouf, qu’elle soit démocratique et civile!.

Il faut dire qu’ Almadanya ne se substitue pas aux structures en place dans aucun de ses programmes. Sauver la Tunisie des dangers auxquels elle fait face consiste à user de tous nos moyens déclare Lotfi Maktouf. Prenons l’exemple du programme de transport rural offert pour les écoliers qui vivent loin de leurs écoles dans les zones rurales. Lotfi Maktouf a fait appel aux taxis ruraux pour éviter de créer une concurrence déloyale en important des bus dédiés au transport rural. Nous visons à exploiter le maximum des moyens existants sur le terrain. Lotfi Maktouf cite l’exemple du programme permis de rêver : Au lieu de créer des nouvelles structures d’enseignement de la conduite, Almadanya fera appel aux autoécoles existantes.

Au centre du développement se situe la règle cardinale et chère à Lotfi Maktouf et à toute son équipe, celle du du rôle conjoint et égal de l’homme et de la femme sans prédestination des tâches ni des responsabilités. «La démocratie étant fondées sur le principe de non-discrimination, Almadanya en fait son principe. « Nous exigeons la parité absolue entre hommes et femmes parmi les destinataires des programmes de notre association» affirme Lotfi Maktouf dont ce thème figure en place d’honneur dans son livre Sauver la Tunisie qui relate l’œuvre de Bourguiba dans ce contexte.

Pour Lotfi Maktouf, la priorité absolue de notre travail est donnée aux chômeurs et aux zones intérieures.

Almadanya n’a pas vocation à résoudre tous les problèmes de la Tunisie insiste Lotfi Maktouf. Réaliste, elle se pose simplement en exemple et en source d’inspiration afin que d’autres s’engagent. S’il y a un message à transmettre ce serait qu’il appartient aux tunisiens de répondre à l’appel de leur pays en s’engageant concrètement au lieu des palabres politiciennes et calculatrices. Il faut Sauver la Tunisie, action par action, pas à pas dit Lotfi Maktouf, auteur de « Sauver la Tunisie ».

Qui est Lotfi Maktouf le Fondateur d’Almadanya ?

Lotfi Maktouf est tunisien, diplômé en droit des universités de Tunis – 1978, Paris-Sorbonne 1979 et Harvard (USA) 1982. Avocat et membre du Barreau de New York. Lotfi Maktouf a commencé sa carrière à Wall Street dans les années 1980 avec le cabinet d’avocats internationaux Cleary, Gottlieb, Steen & Hamilton avant d’accepter un mandat de 4 ans en tant que conseiller puis conseiller principal au Fonds Monétaire International à Washington DC. Maktouf s’est ensuite associé avec le Baron Edmond de Rothschild pour former en partenaires égaux (50/50) une firme d’investissement dans le domaine des fusions & acquisitions en Télécom, énergie et restructurations de dette publiques et banque.

Depuis 1996, contrôlant toutes ses structures, Lotfi Maktouf allie ses métiers de conseil et investissements privés à ses activités de mécénat.

Depuis la création d’Almadanya, il partage son temps entre Monaco

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et Tunis. Lotfi Maktouf n’a jamais appartenu à aucun parti politique ni entrepris aucune activité économique ou politique sous l’ancien régime.

Il est marié et père de deux enfants.

Et les finances?

Les sources de financement des programmes sont toutes déclarées assure Lotfi Maktouf. Elles proviennent des fonds propres de Maktouf son président fondateur et des membres tous tunisiens établis en Tunisie ou à l’étranger.

Pour davantage d’impact et d’efficacité, certains programmes peuvent s’ouvrir au co-financement et les partenaires sont alors déclarés sur le site web. Les comptes sont audités par un expert comptable tunisien.

Aucun programme n’engage une contribution de la part des destinataires ni directement sous forme de crédit ni indirectement. Aucune part des contributions ne sera destinée à couvrir les charges d’Almadanya afin que 100% de ces fonds soient destinées au financement des programmes en place. Les charges seront toutes couvertes par les fonds du président et des membres. Des fonds peuvent ainsi être spécifiquement contribués pour un programme spécifique avec la certitude que tout ira au destinataire.

Et les Programmes?

https://www.youtube.com/watch?list=PL9BUzKAIYJJj7RTyHENzbUYrX5V-eTbuS&v=HM4YQXxy0Oo

En l’espace de trois années, Almadanya se trouve à la tête de douze initiatives, comme aime le appeler Lotfi Maktouf. Tous ces programmes ont opérationnels et financés par des fonds privés tunisiens –essentiellement le fondateur Lotfi Maktouf–sans recours à des fonds publics de quelque nature que ce soit, soit tunisiens soit étrangers.

Ces programmes couvrent un large spectre du monde civil et civique allant de l’éducation à la santé en passant par l’écologie, même comme aime le répéter Lotfi Maktouf, il y a trois priorités en Tunisie, « l’éducation, l ‘éducation, l’éducation ! »

Quels sont ces programmes ?

Il y a d’abord toute une série consacrée à l’éducation donc, comme (FATMA) le transport rural des écoliers sont les foyers sont éloignés des écoles les plus proches, l’initiative la plus connue d’Almadanya mais Lotfi Maktouf affirme que « ce n’est pas la plus seule ». Il y a ensuite les excursions vers les musées et les sites archéologiques tels que Cartahge (RACINES), programme cher à Lotfi Maktouf qui est né d’une conversation avec un petit groupe d’écoliers lors des tournées que Maktouf effectuait en début d’année 2011. A noter aussi le fameux programme (PERMIS DE REVER) qui consiste à financer des permis de conduire pour des jeunes chômeurs et dont la grande majorité finissent par trouver des emplois par eux- mêmes. Pour Lotfi Maktouf, c’est une question de dignité et c’est elle qui conduit ces jeunes a trouver un emploi. Maktouf avait insisté que le choix des jeunes se fasse sur la base de parité, ce qui a lancé la « doctrine Almadanya » de totale parité.

Dans cette même lignée de programmes, citons le concours national de lecture (CELEBRONS LE LIVRE) et qui consiste en un concours national culminant en mai de chaque année avec la distribution de livres pour les élèves ayant obtenu les meilleurs notes en matière de commentaire de texte. Lotfi Maktouf avait initié cette démarche en s’inspirant de la traditionnelle distribution de livres en fin d’années alors qu’il était lui-même élève en Tunisie dans les années 70.

En matière d’écologie, le programme qui a fait parler de lui cette année 2014 est (GREEN TUNISIA) c’est le pari que Lotfi Maktouf a pris de planter un million d’arbres ! Partout en Tunisie. Ce travail courageux a déjà été entamé en mars 2014 !

Dans le domaine de la santé, un soutien social important en faveur des parents d’enfants malades hospitalisés. Almadanya offre tout simplement le toit aux parents qui doivent accompagner leurs enfants mais qui n’ont pas les moyens de se loger. Pour Lotfi Maktouf, c’est en effet de dignité qu’il s’agit.

Pour ce qui est de la culture, une série d’initiatives ont également été lancées en coopération avec le Ministère de la Culture et qui consistent, grâce à l’engagement de Lotfi Maktouf, de créer et de gérer une série de musées privées dans une série de spécialités.

Et ce n’est pas finit ! Lorsqu’on demande des précision à Lotfi Maktouf celui-ci rétorque toujours, « Visiter notre site web !) C’est en faisant cela quel ‘on découvre alors encore d’autres initiatives et nous dirons aussi comme nous y invite Lotfi Maktouf : Visitez le site d’Alamadanya : www.almadanya.org.

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Shared Prosperity Needs More Face to Face Engagement, Not Just Online https://almadanya.org/shared-prosperity-needs-more-face-to-face-engagement-not-just-online/ Mon, 03 Mar 2014 20:56:02 +0000 http://almadanya.org/?p=1231 « It takes civil society to engage on solutions, » shared Lotfi Maktouf, who founded Al Madanya, which is a Tunisian-based nonprofit that helps address the number one challenge in Tunisia, youth unemployment. Through Al Madanya’s simple intervention, subsidizing driver’s license training, youth obtain the means to earn a driver’s license which can lead to a job […]

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« It takes civil society to engage on solutions, » shared Lotfi Maktouf, who founded Al Madanya, which is a Tunisian-based nonprofit that helps address the number one challenge in Tunisia, youth unemployment. Through Al Madanya’s simple intervention, subsidizing driver’s license training, youth obtain the means to earn a driver’s license which can lead to a job — or at least provide the identity card they need for other types of employment. I could not help but think that this year’s World Bank theme for « Shared Prosperity » had to be somewhat inspired from the analysis and reports coming from the Middle East and North Africa division that focused on inclusiveness for development. Current World Bank President, Dr. Jim Yong Kim, repeatedly cushioned each recommendation to support « Shared Prosperity » as the end-goal. Shared prosperity also served as a way to include civil society across all regions regarding extreme poverty, education, and climate change.

#ItTakes Civil Society Organizations

Combined with the 2013 meeting’s « hashtag », which is the term for a social media meme, #ItTakes, it was easy to enlist civil society organizations among the online audience to comment. For social media followers, there was certainly much online discussion the Annual World Bank-International Monetary Fund (IMF) Spring Meetings that primarily focused on the Tunisian and Egyptian IMF loan decisions, rather than the other widely used hashtag « #educationfirst » throughout the week-long online/offline discussions.

During the meetings, 551 representatives from Civil Society Organizations arrived in Washington, D.C. to participate in about sixty CSO sessions that engage on better program management to partnering with the United Nations for Millennium Development Goal projects, like sanitation and education. Traveling to Washington, D.C., let alone, the U.S. is expensive. So it is understandable that over 20 percent of the CSO representatives come from the U.S. However, even if one were to subtract 100 of those American CSO reps from the total, only 23 of 451 representatives came from the Middle East & North Africa region itself.

Among MENA countries, those represented, came from some countries going through economic and political transition, like Tunisia, Yemen, and Egypt. Civil society institutions who were unable to attend, observed and questioned from Tunisia, like Twitter user, Saida Manoubia who asked over Twitter as @khaffousa: « if there could be growth without development, and how did #tunisia achieve the growth he is talking about? »

Yet, no civil society organizations arrived from Libya or Syria — with the exception of some press from those countries. (But how can press from Bahrain, Libya, and Syria report on what is not shared by CSOs visiting from their countries when they may not report on what they hear from them events transpiring within their own countries?) Unfortunately, country-specific examples, like Syria and Yemen were described in relevant CSO panels, like the « Rule of Law & Security » Thursday session, but with no one chiming in at the panel from those countries… or from Libyans (and Syrians) in real time on Twitter.

For that matter, even countries that were used as MENA specific examples in World Bank panel discussions, that had not undergone a revolution in the last two years did not include the voices from civil society organizations. I am not saying that they do not exist, but one may wonder why the UAE, Palestine, Oman, Saudi Arabia, Qatar, Algeria, and Jordan did not have civil society organization representatives participating. For example, most MENA countries provide some sort of subsidy, and could relate to Friday’s session, « Inclusion and Resilience: The Way Forward for Social Safety Nets in the Middle East & North Africa. » Specifically, the talk shared ways in which government and civil society could partner to undertake food and fuel subsidies reform and engage on larger social safety net support mechanisms. Both Morocco and Palestine were cited as examples of reducing certain subsidies by the Director of MENA’s Human Development division at the World Bank, Steen Jorgensen. At least the Egypt-based, Egyptian Center for Economic Studies, represented a MENA-based perspective that described the support Egypt-based CSOs give to supplement the social safety net challenge.

Two Hopes for MENA CSOs in 2014

What was most disappointing was not seeing any civil society organizations from the MENA region sitting in on the two panels that look at the social dimensions of the « Shared Prosperity » theme. The first was the « Rule of Law & Security » panel — which I can understand because maybe « political » terms and « fragile economies » require country representatives to admit that political judgements will be cast in the discussion. As one of the panelists stated, « If we create a lot of laws, and then people don’t enforce them, then we [governments] lose credibility. »

The second panel lacking any MENA civil society organization voice was the « From Vision to Action: Youth Engagement » discussion. Fine, they were not among the speakers. As a blogger, I accept that with a taxing schedule of 60 sessions, the few MENA CSOs may have had prior speaking commitments and could not speak on the panel. But my disappointment stems from more than just a blogging point or tweet. My disappointment bears repeating because the panel recognized the social and economic imperative of engaging across generations. Inter-generation engagement is what makes up « boosting the shared Prosperity » agenda, according to Kim, who emphasized including the younger generation in the « inclusivity » reforms. I would have liked to know what actual MENA-based CSOs thought about « what it takes to become a respected and impactful leader and how to leverage social media for social impact from the local to the global levels » (the goal of the panel), which would would have triggered a two-way dialogue had MENA CSO representatives at least sat in the audience. This would have strengthened the exchange and resonated stronger in my mind, like Mr. Maktouf’s testimonial, rather than read third-party responses to the tweets about it.

Source : http://www.huffingtonpost.com/mehrunisa-qayyum/more-face-to-face-engagement_b_3165302.html

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Coup de Coeur – hammam-ensa.com https://almadanya.org/coup-de-coeur-hammam-ensa-com/ Sat, 13 Oct 2012 11:07:15 +0000 http://almadanya.org/?p=2212 L’association tunisienne de développement : Almadanya « Le succès de la révolution tunisienne se mesurera dans sa capacité collective à transformer la conquête des libertés en postes d’emploi, en pouvoir d’achat réel, en opportunités économiques, bref en dynamique de croissance réelle et en perspectives sociales. Le danger est que ces libertés demeurent lettre morte déposée sur […]

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L’association tunisienne de développement : Almadanya

« Le succès de la révolution tunisienne se mesurera dans sa capacité collective à transformer la conquête des libertés en postes d’emploi, en pouvoir d’achat réel, en opportunités économiques, bref en dynamique de croissance réelle et en perspectives sociales. Le danger est que ces libertés demeurent lettre morte déposée sur des rayons vides, des ateliers fermés, des hôtels désertés, des dispensaires sous-équipés et des files interminables de chômeurs. Démontrer que démocratie rime avec développement et justice sociale constitue aujourd’hui l’enjeu et le défi. »

Pourquoi Almadanya ?
Démocrate, Almadanya est aussi apolitique. Ses membres fondateurs ont voyagé dans la Tunisie post révolutionnaire pour écouter et comprendre les principaux griefs et attentes de nos concitoyens. Il en ressort la ferme et immédiate détermination d’y répondre par une série de programmes concrets et immédiats. Simples et modestes certes mais vrais.
 
Programmes
L’objet de l’Association est de répondre aux demandes on ne peut plus claires et pressantes de la jeunesse tunisienne exprimées lors de la Révolution du 14  janvier 2011.  A la suite de plusieurs mois de consultations, recherches et visites, 8 ambitieux programmes ont été identifiés et développés. Tous sont aujourd’hui opérationnels.
  • Permis de rêver – Financer la formation au permis de conduire.
  • Baladi – Développer et instaurer un réseau de sites web d’information dans toutes les municipalités.
  • Campus – Tenir des séminaires sur les thèmes d’actualités
  • Racines – Concevoir et financer un cycle d’excursions et sensibilisation au profit de la population scolaire.
  • Grenier – Créer un cycle de formation et des centres de commercialisation au profit des jeunes agriculteurs.
  • Make it Tunisia – Augmenter l’attractivité de la Tunisie.
  • Wave – Encourager et financer la création et la publication de contenu libre.
  • Capital – Accompagner la création de petites et moyennes entreprises. Reconnaitre et récompenser l’excellence
La transparence et l’éthique sont au cœur de l’initiative d’Almadanya, non seulement de part la philosophie de son fondateur et des membres du directoire mais également parce que la nouvelle démocratie l’exige.

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Breyer: Next Tunisian Constitution Must Meet Needs of Tunisians https://almadanya.org/breyer-next-tunisian-constitution-must-meet-needs-of-tunisians/ Fri, 22 Jul 2011 15:18:03 +0000 http://almadanya.org/?p=2097 By Phillip Kurata | Staff Writer | 22 July 2011 U.S. Supreme Court Justice Stephen Breyer Washington — U.S. Supreme Court Justice Stephen Breyer has told a gathering of constitutional scholars in Tunis that it is vital that the next Tunisian Constitution have the support of the Tunisian people. “The result of your efforts [to […]

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By Phillip Kurata | Staff Writer | 22 July 2011

Stephen Breyer (AP Images)U.S. Supreme Court Justice Stephen Breyer

Washington — U.S. Supreme Court Justice Stephen Breyer has told a gathering of constitutional scholars in Tunis that it is vital that the next Tunisian Constitution have the support of the Tunisian people.

“The result of your efforts [to draft a new constitution] must be Tunisian,” Breyer said via satellite from Boston to a group of scholars in Tunis July 22. “You must have a system that responds to the needs of Tunisia.”

Speaking in French, he urged the scholars gathered in Tunis to seek out the views of all sectors of Tunisian society because it is important that the Tunisian people feel that they have “participated” in the drafting of their constitution.

Breyer praised the example of Kemal Ataturk, the founder of modern Turkey, for his extensive research on all forms of constitutional government before adopting a constitution that met Turkey’s needs. A Turkish constitutional scholar participated in the deliberations in Tunis, which were transmitted via a digital video conference sponsored by Almadanya, a Tunisian group devoted to development, and the U.S. State Department’s Bureau of International Information Programs.

Breyer listed five points of paramount importance for the next Tunisian Constitution. It should:

1. Establish a state that governs by laws, not arbitrarily.

2. Create a democratic system that enacts laws that reflect the will of the people.

3. Protect the basic liberties of men and women.

4. Guarantee equality.

5. Provide for the separation of powers of the executive, legislative and judicial branches of government.

Connected to the fifth point, Breyer said he is opposed to the election of judges because elected judges are prone to be influenced by the people who fund their election campaigns. He said a judicial system in which judges are appointed has greater independence. At times, judges make unpopular rulings that protect unpopular people, Breyer said.

The U.S. justice also recommended that the next Tunisian Constitution lay out general principles and avoid precise formulas. He said the constitutional concepts of equality, freedom and due process of law are general principles that do not change, but the circumstances of society do change. Interpreting and applying general principles to current circumstances is the job of the U.S. Supreme Court, the justice said.

Read more: http://iipdigital.usembassy.gov/st/english/article/2011/07/20110722175245pillihp0.1578486.html#ixzz3LyozsfG4

 

Article original :

http://iipdigital.usembassy.gov/st/english/article/2011/07/20110722175245pillihp0.1578486.html#axzz3LyoM2hxj

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