lotfi maktouf @en – ALMADANYA https://almadanya.org/en Association pour le développement de la Tunisie Mon, 05 Mar 2018 11:48:04 +0000 en-US hourly 1 https://wordpress.org/?v=4.9.25 Transport rural scolaire, un combat pour Almadanya – Try me Luxury & Charity https://almadanya.org/en/transport-rural-scolaire-un-combat-pour-almadanya-try-me-luxury-charity/ Tue, 16 Dec 2014 14:21:47 +0000 http://almadanya.org/transport-rural-scolaire-un-combat-pour-almadanya-try-me-luxury-charity-2/ Favoriser l’accès à l’éducat ion, notamment des filles, en rendant le droit à l’enseignement réel pour ces écoliers qui habitent parfois jusqu’à 13 km de leur école, voici un des combats que mène l’association Almadanya. Ces enfants résidant dans des zones rurales et des régions défavorisées ont pu, pour certains, effectuer leur première rentrée scolaire. […]

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Favoriser l’accès à l’éducat ion, notamment des filles, en rendant le droit à l’enseignement réel pour ces écoliers qui habitent parfois jusqu’à 13 km de leur école, voici un des combats que mène l’association Almadanya. Ces enfants résidant dans des zones rurales et des régions défavorisées ont pu, pour certains, effectuer leur première rentrée scolaire. Ce sont cinq nouveaux gouvernorats tunisiens qui ont bénéficié de ce programme de transport nommé « Fatma ». Une mesure qui devrait permettre de réduire le taux d’abandon scolaire et donner à ces jeunes une réelle éducation et apprentissage. Sacs à dos, fournitures, livres ont aussi été distribués. Un pas important sur une route encore bien longue.

http://www.trymemagazine.com/

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La société civile s’implique dans la scolarité des enfants https://almadanya.org/en/la-societe-civile-simplique-dans-la-scolarite-des-enfants/ Wed, 17 Sep 2014 16:19:13 +0000 http://almadanya.org/la-societe-civile-simplique-dans-la-scolarite-des-enfants-2/   A l’occasion de la rentrée 2014-2015, Lotfi Maktouf annonce que la Fondation Almadanya a décidé d’élargir son champ d’action pour couvrir cinq autres gouvernorats et ainsi permettre à un nombre plus important d’accéder à l’instruction, objectif primordial pour la Fondation. Depuis trois ans déjà, et en étroite coopération avec le Ministère de l’Education, le […]

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A l’occasion de la rentrée 2014-2015, Lotfi Maktouf annonce que la Fondation Almadanya a décidé d’élargir son champ d’action pour couvrir cinq autres gouvernorats et ainsi permettre à un nombre plus important d’accéder à l’instruction, objectif primordial pour la Fondation.

Depuis trois ans déjà, et en étroite coopération avec le Ministère de l’Education, le programme de transport rural scolaire mieux connu sous le nom de « Fatma » assure quotidiennement et pendant toute l’année scolaire, le transport à des milliers d’écoliers qui vivent à des kilomètres de l’école la plus proche dans les zones les plus reculées du pays. Pur fruit de la société civile et de l’engagement citoyen, cette opération est originale parce qu’elle fait appel au réseau privé des taxis ruraux qu’elle finance, sans le concurrencer.

« Depuis trois ans, nous avons servi cinq gouvernorats à savoir EL Kef, Siliana, Jendouba, Mahdia, Guebili et Sidi Bouzid.  A partir de cette rentrée, nous avons étendu notre présence à Kairouan, Béja, Bizerte, Nabeul, et Sousse ».  Pour le Fondateur d’Almadanya, « notre mission est de lutter contre l’abandon scolaire qui ne cesse d’augmenter pour atteindre près de 140 000 cette année. C ‘est une véritable bombe à retardement pour notre société, notre avenir et l’avenir de notre mode de vie. Que deviendront nos enfants qui ont décrochent prématurément et abandonnent le système scolaire ? Combien parmi eux se retrouveront à la rue, livrée à l’oisiveté, la violence, l’ignorance et l’extrémisme »

1 950 000. C’est le nombre d’enfants tunisiens vont cette année à l’école. Du primaire au lycée, la rentrée scolaire demeure un des évènements majeurs dans la vie aussi bien au niveau de l’individu que de la famille et de la société en général. De la fourniture au transport scolaire, cela peut être un véritable casse-tête pour les parents d’élèves. Mais la rentrée scolaire est surtout l’occasion pour la société civile de rappeler l’importance vitale de l’éducation pour notre avenir en tant que société et en tant que nation.

C’est pourquoi, conscients de la situation de précarité et de pauvreté dans laquelle se trouve un segment important de nos concitoyens, les membres de la Fondation Almadanya distribuent chaque année, à cette occasion des milliers des désormais fameux sacs à dos Almadanya contenant les fournitures scolaires et les livres dont le coût est tout simplement hors de portée  pour bon nombre de familles.

Une initiative encore plus étendue

« Il est vital de permettre aux enfants et surtout aux petites filles d’accéder à l’éducation, » déclare Lotfi Maktouf, le Fondateur d’Almadanya.

Eduquer la jeunesse, l’égalité des chances, accès au savoir et l’apprentissage autant de valeurs pour lesquelles la FondationAlmadanya œuvre depuis sa création.Afin de lutter contre le fléau de l’abandon scolaire, elle a créée en 2011 son programme FATMA. En signant des accords avec des taxis ruraux, la Fondation a permis l’année dernière à près de 5000 élèves de retourner à l’école. Filles et garçons ils ont tous été transportés gratuitement tous les jours jusqu’à l’école la plus proche. Tous les frais de transport sont pris en charge par Almadanya.

Plus que le transport, cette année, Almadanya va également fournir à près de 2000 enfants des sacs à dos, des fournitures scolaires ainsi que les livres nécessaires pour leurs études. De cette façon, la Fondation souhaite leur donner l’occasion de poursuivre une scolarité dans les meilleures conditions possibles et surtout leur offrir une égalité des chances.

Un programme qui a fait ses preuves 

D’après le ministère de l’Education, dans les zones rurales et défavorisées, le chemin école-domicile représente plus de 5km. En plus d’être long, ce chemin est aussi dangereux. De plus, par manque de moyens, des milliers d’enfants ne peuvent pas suivre une scolarité normale car leurs parents ne peuvent assurer financièrement leurs études. C’est pourquoi ces dernières années, des dizaines de milliers d’enfants abandonnaient l’école. Grâce à cette action, le taux d’absentéisme a baissé dans les zones rurales et défavorisées. Les régions desservies par Almadanya ont enregistré une baisse du taux de l’abandon scolaire. A présent ce taux atteint les 0,2%.

Source URL: http://www.letemps.com.tn/article/86200/lutte-contre-le-fl%C3%A9au-de-l%E2%80%99abadon-scolaire

 

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RENCONTRE: AMEL MEZIANE, JEUNE CAVALIÈRE TUNISIENNE https://almadanya.org/en/rencontre-amel-meziane-jeune-cavaliere-tunisienne/ Wed, 02 Jul 2014 17:02:48 +0000 http://almadanya.org/rencontre-amel-meziane-jeune-cavaliere-tunisienne-2/ Du haut de ses 17 ans, Amel vient d’ajouter à son palmarès déjà impressionnant, le Prix de l’Excellence de la Fondation Almadanya. Découverte d’une passion sur un parcours sans faute. Amel Meziane entourée de Hatem Chaouachi, Chef de Projet Green Tunisia et Leïla Chiha, représentante du Consulat Honoraire de Tunisie à Monaco. Photo: Eva Esztergar […]

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Du haut de ses 17 ans, Amel vient d’ajouter à son palmarès déjà impressionnant, le Prix de l’Excellence de la Fondation Almadanya. Découverte d’une passion sur un parcours sans faute.

Amel Meziane entourée de Hatem Chaouachi, Chef de Projet Green Tunisia et Leïla Chiha, représentante du Consulat Honoraire de Tunisie à Monaco. Photo: Eva Esztergar
Amel Meziane entourée de Hatem Chaouachi, Chef de Projet Green Tunisia et Leïla Chiha, représentante du Consulat Honoraire de Tunisie à Monaco. Photo: Eva Esztergar
Almadanya mène ses actions dans les domaines tels: développement, environnement, éducation, culture. La fondation, en prenant en charge les frais de transport, a permis notamment à des milliers d’enfants isolés dans les communes rurales de pouvoir faire leurs études dans de bonnes conditions. Leur projet Green Tunisia est un programme dont l’objectif est la plantation d’un million d’arbres jusqu’à 2016.
L’activité d’Almadanya est également l’attribution de bourses et du Prix annuel de l’excellence.La jeune championne tunisienne d’équitation a reçu le prix Almadanya de l’excellence pour l’année de 2014, grâce à “son talent, sa persévérance, son courage, son application aussi bien à l’école qu’en satisfaisant sa passion pour le sport équestre”.
Amel Meziane a pu participer à la compétition Invitational Longines Global Champions Tour qui s’est tenue à Monaco (voir notre publicationprécédente), où elle a représenté la Tunisie pour la première fois.Très engagée non seulement dans sa vie sportive mais aussi dans son activité scolaire et sociétale, Amel est fière de donner une image positive de la Tunisie et des jeunes femmes qu’elle représente au niveau international.Avec simplicité, modestie et sourires, elle est déjà une ambassadrice exceptionnelle!

 

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Amel Meziane remporte le prix Almadanya pour l’excellence 2014 – Baya.tn https://almadanya.org/en/amel-meziane-remporte-le-prix-almadanya-pour-lexcellence-2014-baya-tn/ Sat, 21 Jun 2014 10:59:16 +0000 http://almadanya.org/amel-meziane-remporte-le-prix-almadanya-pour-lexcellence-2014-baya-tn-2/ D’après la page officielle de l’Association tunisienne pour le développement, Almadanya sur facebook, la championne tunisienne d’équitation AMEL MEZIANE vient de gagner le prix Almadanya de l’excellence  pour l’année de 2014. Dans le cas d’Amel, sa participation au concours international de Jumping de Monaco durant 26-27 et 28 juin sera entièrement prise en charge par […]

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D’après la page officielle de l’Association tunisienne pour le développement, Almadanya sur facebook, la championne tunisienne d’équitation AMEL MEZIANE vient de gagner le prix Almadanya de l’excellence  pour l’année de 2014.

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Dans le cas d’Amel, sa participation au concours international de Jumping de Monaco durant 26-27 et 28 juin sera entièrement prise en charge par la Fondation.

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article original : http://www.baya.tn/2014/06/21/amel-meziane-gagne-le-prix-almadanya-pour-lexcellence-2014/

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Entretiens avec Lotfi Maktouf : Almadanya, trois ans déjà https://almadanya.org/en/entretiens-avec-lotfi-maktouf-almadanya-trois-ans-deja-part-13/ Thu, 17 Apr 2014 15:22:25 +0000 http://almadanya.org/entretiens-avec-lotfi-maktouf-almadanya-trois-ans-deja-part-13-3/ www.almadanya.org Entretiens avec Lotfi Maktouf, son fondateur et président, et auteur de« Sauver la Tunisie » paru chez fayard en Juin 2013 Pour Lotfi Maktouf, « Le succès de la révolution tunisienne se mesurera dans sa capacité collective à transformer la conquête des libertés en postes d’emploi, en pouvoir d’achat réel, en opportunités économiques, bref […]

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www.almadanya.org

Entretiens avec Lotfi Maktouf, son fondateur et président, et auteur de« Sauver la Tunisie » paru chez fayard en Juin 2013

Pour Lotfi Maktouf, « Le succès de la révolution tunisienne se mesurera dans sa capacité collective à transformer la conquête des libertés en postes d’emploi, en pouvoir d’achat réel, en opportunités économiques, bref en dynamique de croissance réelle et en perspectives sociales. Le danger est que ces libertés demeurent lettre morte déposée sur des rayons vides, des ateliers fermés, des hôtels désertés, des dispensaires sous-équipés et des files interminables de chômeurs. » Cette affirmation de Lotfi Maktouf date d’avril 2011 déjà mai elle demeure vraie trois ans après le début de ce qui est appelé le « printemps arabe ».

« Démontrer que démocratie rime avec développement et justice sociale constitue aujourd’hui l’enjeu et le défi » dixit Lotfi Maktouf auteur de sauver la Tunisie paru chez fayard en juin 2013

Dès la révolution et loin du stérile vacarme politicien, Lotfi Maktouf et une petite équipe de Tunisiens expatriés ou localement installés, se sont posé » la question de savoir comment concrètement jouer un rôle dans la société civile. « L’unique motivation qui nous animait » selon Lotfi Maktouf « est celle de servir notre pays avec nos propres moyens, expérience, expertise et connaissances. » Lotfi Maktouf ne cherchait pas alors à « sauver la Tunisie » mais à faire la différence. C’est bien plus tard que Lotfi Maktouf, riche des enseignements et de ses recherches et visites qu’il décida d’ publier un livre « Sauver la Tunisie » publié chez fayard en juin 2013: un succès immédiat.

Nos visites, entretiens et consultations partout en Tunisie de février à mai 2011 ont permis à Lotfi Maktouf de tirer deux conclusions :

1. Le chômage déjà alarmant s’accroit depuis le 14 janvier. En 23 ans, personne n’a repensé le binôme système d’orientation / besoins du marché de travail, ni exploré par exemple les vertus de la formation professionnelle, clé de voûte de toute solidité économique et cohésion sociale.

2. La concentration de la richesse dans la zone côtière a relégué au rang de citoyens de seconde zone des populations entières et a privé les régions intérieures de toute attractivité économique.

C’est à partir de ces deux constats qu’Almadanya est née. Ses membres fondateurs ont voyagé dans la Tunisie post révolutionnaire pour écouter et réunir les principaux griefs et attentes de nos concitoyens. Il en ressort la ferme et immédiate détermination d’y répondre par une série de programmes concrets et immédiats. Simples et modestes certes mais vrais.

La question posée à Lotfi Maktouf : Almadanya : Fondation ou Association ?

La législation tunisienne ne permet pas selon Lotfi Maktouf la formation de fondations mais plutôt d’associations. C ‘est pour cela, le fondateur d’Almadanya Lotfi Maktouf a préféré se conformer à la loi en vigueur même si en réalité la structure de son entité s’apparente davantage à une fondation du fait que le financement provient de sa propre fortune. Mais pour Lotfi Maktouf, rein ne change au fond car l’objectif est d’être actif au sein de la société civile.

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La philosophie d’Almadanya telle qu’imaginée par Lotfi Maktouf

Pragmatisme, transparence et intégrité nous rappelle Lotfi Maktouf. Tous les programmes de l’auteur de « Sauver la Tunisie » sont opérationnels et sont nés de la constatation sur le terrain. Almadanya déclare Lotfi Maktouf est d’abord une association de développement. Elle est ouverte à toutes et à tous et ses programmes sont sans condition d’affiliation politique. Soutenir Almadanya n’est donc pas en contradiction avec une appartenance politique quelle qu’elle soit pourvu, ajoute Lotfi Maktouf, qu’elle soit démocratique et civile!.

Il faut dire qu’ Almadanya ne se substitue pas aux structures en place dans aucun de ses programmes. Sauver la Tunisie des dangers auxquels elle fait face consiste à user de tous nos moyens déclare Lotfi Maktouf. Prenons l’exemple du programme de transport rural offert pour les écoliers qui vivent loin de leurs écoles dans les zones rurales. Lotfi Maktouf a fait appel aux taxis ruraux pour éviter de créer une concurrence déloyale en important des bus dédiés au transport rural. Nous visons à exploiter le maximum des moyens existants sur le terrain. Lotfi Maktouf cite l’exemple du programme permis de rêver : Au lieu de créer des nouvelles structures d’enseignement de la conduite, Almadanya fera appel aux autoécoles existantes.

Au centre du développement se situe la règle cardinale et chère à Lotfi Maktouf et à toute son équipe, celle du du rôle conjoint et égal de l’homme et de la femme sans prédestination des tâches ni des responsabilités. «La démocratie étant fondées sur le principe de non-discrimination, Almadanya en fait son principe. « Nous exigeons la parité absolue entre hommes et femmes parmi les destinataires des programmes de notre association» affirme Lotfi Maktouf dont ce thème figure en place d’honneur dans son livre Sauver la Tunisie qui relate l’œuvre de Bourguiba dans ce contexte.

Pour Lotfi Maktouf, la priorité absolue de notre travail est donnée aux chômeurs et aux zones intérieures.

Almadanya n’a pas vocation à résoudre tous les problèmes de la Tunisie insiste Lotfi Maktouf. Réaliste, elle se pose simplement en exemple et en source d’inspiration afin que d’autres s’engagent. S’il y a un message à transmettre ce serait qu’il appartient aux tunisiens de répondre à l’appel de leur pays en s’engageant concrètement au lieu des palabres politiciennes et calculatrices. Il faut Sauver la Tunisie, action par action, pas à pas dit Lotfi Maktouf, auteur de « Sauver la Tunisie ».

Qui est Lotfi Maktouf le Fondateur d’Almadanya ?

Lotfi Maktouf est tunisien, diplômé en droit des universités de Tunis – 1978, Paris-Sorbonne 1979 et Harvard (USA) 1982. Avocat et membre du Barreau de New York. Lotfi Maktouf a commencé sa carrière à Wall Street dans les années 1980 avec le cabinet d’avocats internationaux Cleary, Gottlieb, Steen & Hamilton avant d’accepter un mandat de 4 ans en tant que conseiller puis conseiller principal au Fonds Monétaire International à Washington DC. Maktouf s’est ensuite associé avec le Baron Edmond de Rothschild pour former en partenaires égaux (50/50) une firme d’investissement dans le domaine des fusions & acquisitions en Télécom, énergie et restructurations de dette publiques et banque.

Depuis 1996, contrôlant toutes ses structures, Lotfi Maktouf allie ses métiers de conseil et investissements privés à ses activités de mécénat.

Depuis la création d’Almadanya, il partage son temps entre Monaco

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et Tunis. Lotfi Maktouf n’a jamais appartenu à aucun parti politique ni entrepris aucune activité économique ou politique sous l’ancien régime.

Il est marié et père de deux enfants.

Et les finances?

Les sources de financement des programmes sont toutes déclarées assure Lotfi Maktouf. Elles proviennent des fonds propres de Maktouf son président fondateur et des membres tous tunisiens établis en Tunisie ou à l’étranger.

Pour davantage d’impact et d’efficacité, certains programmes peuvent s’ouvrir au co-financement et les partenaires sont alors déclarés sur le site web. Les comptes sont audités par un expert comptable tunisien.

Aucun programme n’engage une contribution de la part des destinataires ni directement sous forme de crédit ni indirectement. Aucune part des contributions ne sera destinée à couvrir les charges d’Almadanya afin que 100% de ces fonds soient destinées au financement des programmes en place. Les charges seront toutes couvertes par les fonds du président et des membres. Des fonds peuvent ainsi être spécifiquement contribués pour un programme spécifique avec la certitude que tout ira au destinataire.

Et les Programmes?

https://www.youtube.com/watch?list=PL9BUzKAIYJJj7RTyHENzbUYrX5V-eTbuS&v=HM4YQXxy0Oo

En l’espace de trois années, Almadanya se trouve à la tête de douze initiatives, comme aime le appeler Lotfi Maktouf. Tous ces programmes ont opérationnels et financés par des fonds privés tunisiens –essentiellement le fondateur Lotfi Maktouf–sans recours à des fonds publics de quelque nature que ce soit, soit tunisiens soit étrangers.

Ces programmes couvrent un large spectre du monde civil et civique allant de l’éducation à la santé en passant par l’écologie, même comme aime le répéter Lotfi Maktouf, il y a trois priorités en Tunisie, « l’éducation, l ‘éducation, l’éducation ! »

Quels sont ces programmes ?

Il y a d’abord toute une série consacrée à l’éducation donc, comme (FATMA) le transport rural des écoliers sont les foyers sont éloignés des écoles les plus proches, l’initiative la plus connue d’Almadanya mais Lotfi Maktouf affirme que « ce n’est pas la plus seule ». Il y a ensuite les excursions vers les musées et les sites archéologiques tels que Cartahge (RACINES), programme cher à Lotfi Maktouf qui est né d’une conversation avec un petit groupe d’écoliers lors des tournées que Maktouf effectuait en début d’année 2011. A noter aussi le fameux programme (PERMIS DE REVER) qui consiste à financer des permis de conduire pour des jeunes chômeurs et dont la grande majorité finissent par trouver des emplois par eux- mêmes. Pour Lotfi Maktouf, c’est une question de dignité et c’est elle qui conduit ces jeunes a trouver un emploi. Maktouf avait insisté que le choix des jeunes se fasse sur la base de parité, ce qui a lancé la « doctrine Almadanya » de totale parité.

Dans cette même lignée de programmes, citons le concours national de lecture (CELEBRONS LE LIVRE) et qui consiste en un concours national culminant en mai de chaque année avec la distribution de livres pour les élèves ayant obtenu les meilleurs notes en matière de commentaire de texte. Lotfi Maktouf avait initié cette démarche en s’inspirant de la traditionnelle distribution de livres en fin d’années alors qu’il était lui-même élève en Tunisie dans les années 70.

En matière d’écologie, le programme qui a fait parler de lui cette année 2014 est (GREEN TUNISIA) c’est le pari que Lotfi Maktouf a pris de planter un million d’arbres ! Partout en Tunisie. Ce travail courageux a déjà été entamé en mars 2014 !

Dans le domaine de la santé, un soutien social important en faveur des parents d’enfants malades hospitalisés. Almadanya offre tout simplement le toit aux parents qui doivent accompagner leurs enfants mais qui n’ont pas les moyens de se loger. Pour Lotfi Maktouf, c’est en effet de dignité qu’il s’agit.

Pour ce qui est de la culture, une série d’initiatives ont également été lancées en coopération avec le Ministère de la Culture et qui consistent, grâce à l’engagement de Lotfi Maktouf, de créer et de gérer une série de musées privées dans une série de spécialités.

Et ce n’est pas finit ! Lorsqu’on demande des précision à Lotfi Maktouf celui-ci rétorque toujours, « Visiter notre site web !) C’est en faisant cela quel ‘on découvre alors encore d’autres initiatives et nous dirons aussi comme nous y invite Lotfi Maktouf : Visitez le site d’Alamadanya : www.almadanya.org.

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Shared Prosperity Needs More Face to Face Engagement, Not Just Online https://almadanya.org/en/shared-prosperity-needs-more-face-to-face-engagement-not-just-online-2/ Mon, 17 Mar 2014 16:25:47 +0000 http://beoneprod.com/clients/almadanya/?p=1614 “It takes civil society to engage on solutions,” shared Lotfi Maktouf, who founded Al Madanya, which is a Tunisian-based nonprofit that helps address the number one challenge in Tunisia, youth unemployment. Through Al Madanya’s simple intervention, subsidizing driver’s license training, youth obtain the means to earn a driver’s license which can lead to a job […]

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“It takes civil society to engage on solutions,” shared Lotfi Maktouf, who founded Al Madanya, which is a Tunisian-based nonprofit that helps address the number one challenge in Tunisia, youth unemployment. Through Al Madanya’s simple intervention, subsidizing driver’s license training, youth obtain the means to earn a driver’s license which can lead to a job — or at least provide the identity card they need for other types of employment. I could not help but think that this year’s World Bank theme for “Shared Prosperity” had to be somewhat inspired from the analysis and reports coming from the Middle East and North Africa division that focused on inclusiveness for development. Current World Bank President, Dr. Jim Yong Kim, repeatedly cushioned each recommendation to support “Shared Prosperity” as the end-goal. Shared prosperity also served as a way to include civil society across all regions regarding extreme poverty, education, and climate change.

#ItTakes Civil Society Organizations

Combined with the 2013 meeting’s “hashtag”, which is the term for a social media meme, #ItTakes, it was easy to enlist civil society organizations among the online audience to comment. For social media followers, there was certainly much online discussion the Annual World Bank-International Monetary Fund (IMF) Spring Meetings that primarily focused on the Tunisian and Egyptian IMF loan decisions, rather than the other widely used hashtag “#educationfirst” throughout the week-long online/offline discussions.

During the meetings, 551 representatives from Civil Society Organizations arrived in Washington, D.C. to participate in about sixty CSO sessions that engage on better program management to partnering with the United Nations for Millennium Development Goal projects, like sanitation and education. Traveling to Washington, D.C., let alone, the U.S. is expensive. So it is understandable that over 20 percent of the CSO representatives come from the U.S. However, even if one were to subtract 100 of those American CSO reps from the total, only 23 of 451 representatives came from the Middle East & North Africa region itself.

Among MENA countries, those represented, came from some countries going through economic and political transition, like Tunisia, Yemen, and Egypt. Civil society institutions who were unable to attend, observed and questioned from Tunisia, like Twitter user, Saida Manoubia who asked over Twitter as @khaffousa: “if there could be growth without development, and how did #tunisia achieve the growth he is talking about?”

Yet, no civil society organizations arrived from Libya or Syria — with the exception of some press from those countries. (But how can press from Bahrain, Libya, and Syria report on what is not shared by CSOs visiting from their countries when they may not report on what they hear from them events transpiring within their own countries?) Unfortunately, country-specific examples, like Syria and Yemen were described in relevant CSO panels, like the “Rule of Law & Security” Thursday session, but with no one chiming in at the panel from those countries… or from Libyans (and Syrians) in real time on Twitter.

For that matter, even countries that were used as MENA specific examples in World Bank panel discussions, that had not undergone a revolution in the last two years did not include the voices from civil society organizations. I am not saying that they do not exist, but one may wonder why the UAE, Palestine, Oman, Saudi Arabia, Qatar, Algeria, and Jordan did not have civil society organization representatives participating. For example, most MENA countries provide some sort of subsidy, and could relate to Friday’s session, “Inclusion and Resilience: The Way Forward for Social Safety Nets in the Middle East & North Africa.” Specifically, the talk shared ways in which government and civil society could partner to undertake food and fuel subsidies reform and engage on larger social safety net support mechanisms. Both Morocco and Palestine were cited as examples of reducing certain subsidies by the Director of MENA’s Human Development division at the World Bank, Steen Jorgensen. At least the Egypt-based, Egyptian Center for Economic Studies, represented a MENA-based perspective that described the support Egypt-based CSOs give to supplement the social safety net challenge.

Two Hopes for MENA CSOs in 2014

What was most disappointing was not seeing any civil society organizations from the MENA region sitting in on the two panels that look at the social dimensions of the “Shared Prosperity” theme. The first was the “Rule of Law & Security” panel — which I can understand because maybe “political” terms and “fragile economies” require country representatives to admit that political judgements will be cast in the discussion. As one of the panelists stated, “If we create a lot of laws, and then people don’t enforce them, then we [governments] lose credibility.”

The second panel lacking any MENA civil society organization voice was the “From Vision to Action: Youth Engagement” discussion. Fine, they were not among the speakers. As a blogger, I accept that with a taxing schedule of 60 sessions, the few MENA CSOs may have had prior speaking commitments and could not speak on the panel. But my disappointment stems from more than just a blogging point or tweet. My disappointment bears repeating because the panel recognized the social and economic imperative of engaging across generations. Inter-generation engagement is what makes up “boosting the shared Prosperity” agenda, according to Kim, who emphasized including the younger generation in the “inclusivity” reforms. I would have liked to know what actual MENA-based CSOs thought about “what it takes to become a respected and impactful leader and how to leverage social media for social impact from the local to the global levels” (the goal of the panel), which would would have triggered a two-way dialogue had MENA CSO representatives at least sat in the audience. This would have strengthened the exchange and resonated stronger in my mind, like Mr. Maktouf’s testimonial, rather than read third-party responses to the tweets about it.

Source : Huffingtonpost.com

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“La Tunisie verte” : Un projet visant la plantation d’un million d’arbres https://almadanya.org/en/la-tunisie-verte-un-projet-visant-la-plantation-dun-million-darbres/ Tue, 18 Feb 2014 10:04:04 +0000 http://almadanya.org/la-tunisie-verte-un-projet-visant-la-plantation-dun-million-darbres-2/ Tunis – Un accord de partenariat pour la réalisation du projet “la Tunisie verte”, a été signé, lundi, à Tunis, entre l’Association tunisienne du développement “ALMADANYA”, la Direction générale des forets “DGF” et le Commissariat régional du développement agricole à Sousse (CRDA). PH Archive Concrètement, ce projet consiste à planter, dans différentes zones forestières du […]

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Tunis – Un accord de partenariat pour la réalisation du projet “la Tunisie verte”, a été signé, lundi, à Tunis, entre l’Association tunisienne du développement “ALMADANYA”, la Direction générale des forets “DGF” et le Commissariat régional du développement agricole à Sousse (CRDA).

PH Archive
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Concrètement, ce projet consiste à planter, dans différentes zones forestières du pays, un million d’arbres.La première phase de ce projet et les premières actions de boisement auront lieu à Sousse pour une période de deux mois, et porteront sur la plantation de 100 mille arbres sur une superficie de 120 hectares, a précisé Lotfi Maktouf, président de l’association “ALMADANYIA”.En vertu de cet accord, l’Association “ALMADANYIA” aura l’avantage de gérer, durant trois ans, l’excédent de carbone résultant de la mise en œuvre de ce projet.

Elle devrait l’utiliser, exclusivement, pour le développement de ses ressources au profit des projets de développement entrepris en Tunisie.

En effet, le marché de carbone permet de vendre les excédents de CO2 aux pays qui ont dépassé leurs quotas.

Pour ces premières plantations, les trois parties signataires de l’accord, en l’occurrence l’association”ALMADANYIA”, la DGF et le CRDA de Sousse, vont mobiliser une enveloppe d’environ 450 mille dinars.

L’accord signé par le président de l’Association de “ALMADANYA”, le DG des forêts (ministère de l’Agriculture) et le DG du CRDA de Sousse et en présence du ministre de l’Agriculture, Lassaad Lachaal, s’inscrit dans le cadre des actions menées par l’Etat en partenariat avec la société civile dans l’objectif de développer la richesse forestière, consolider l’économie verte et contribuer à la réalisation du développement socio-économique.

 

 

Article original : http://www.lemag.ma/La-Tunisie-verte-Un-projet-visant-la-plantation-d-un-million-d-arbres_a80693.html

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L’association Almadanya a décidé de prendre en charge 3800 élèves issus de différentes régions de la Tunisie, https://almadanya.org/en/lassociation-almadanya-a-decide-de-prendre-en-charge-3800-eleves-issus-de-differentes-regions-de-la-tunisie/ Mon, 23 Sep 2013 10:45:40 +0000 http://almadanya.org/lassociation-almadanya-a-decide-de-prendre-en-charge-3800-eleves-issus-de-differentes-regions-de-la-tunisie-2/ L’association ‘Almadanya’ a décidé de prendre en charge financièrement et ce pendant 3 ans et pendant l’année scolaire 3800 élèves issus des régions du Kef, Mahdia, Siliana, Jendouba, Kébili. Cette prise en charge s’effectuera au niveau des abonnements  de transports et des fournitures scolaires et cette expérience s’avère être une réussite. Selon des parents d’élèves, […]

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L’association ‘Almadanya’ a décidé de prendre en charge financièrement et ce pendant 3 ans et pendant l’année scolaire 3800 élèves issus des régions du Kef, Mahdia, Siliana, Jendouba, Kébili.

Cette prise en charge s’effectuera au niveau des abonnements  de transports et des fournitures scolaires et cette expérience s’avère être une réussite.

Selon des parents d’élèves, cette expérience de prise en charge est une réussite car une petite fille Fatima issue d’une des régions a obtenu 16,5/20 de moyenne pour avoir gagner en temps grâce aux transports,qui attendent chaque élève à la sortie d’école, proposés par l’association.

Article original : http://www.tuniscope.com/article/31955/vie/associations/regions-295710

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Almadanya, l’Ong qui fait mieux que le gouvernement – Webmanagercenter.com https://almadanya.org/en/almadanya-long-qui-fait-mieux-que-le-gouvernement/ Mon, 27 May 2013 10:27:09 +0000 http://almadanya.org/almadanya-long-qui-fait-mieux-que-le-gouvernement-2/ Si on s’était limité à croire les conclusions d’une récente étude réalisée par l’Observatoire Ilef pour la protection du consommateur et des contribuables selon lesquelles «près de la moitié des ONG (plus de 6.000) en Tunisie ne se conforment pas aux objectifs proclamés par leurs statuts et exercent des activités déguisées, voire contraires à leur […]

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Si on s’était limité à croire les conclusions d’une récente étude réalisée par l’Observatoire Ilef pour la protection du consommateur et des contribuables selon lesquelles «près de la moitié des ONG (plus de 6.000) en Tunisie ne se conforment pas aux objectifs proclamés par leurs statuts et exercent des activités déguisées, voire contraires à leur vocation initiale alors que quelque 19% des associations caritatives et à caractère religieux exercent des activités totalement différentes des objectifs assignés par leurs statuts», on serait tenté de désespérer définitivement du tissu associatif dans le pays.

Et pourtant, en dépit de cette instrumentalisation scandaleuse des ONG à des fins politiques, religieuses ou autres, il existe des associations, véritablement militantes, qui font du bon boulot et qui sont parvenues, deux ans seulement après leur création, à faire ce que l’Etat n’a pas pu faire, des décennies durant.

C’est particulièrement le cas de l’Association de développement Almadanya. Selon son président, Lofti Maktouf, avocat aux Etats-Unis et ancien conseiller au FMI, l’objectif de son ONG est d’aider les jeunes démunis des régions à prédominance rurale à accéder, dans des conditions minimales, au savoir et à la connaissance, de disposer d’un minimum de chances pour se créer un emploi, de connaître l’histoire millénaire de leur pays et de profiter de la diversité de ses ressources naturelles (mer, Sahara, forêts, oasis, plaines, parcs naturels…).

Il estime, dans une interview accordée à Radio Express Fm, qu’«au regard de la modestie de ses ressources naturelles, l’avenir de la Tunisie dépendra de l’engagement de la société civile dans les questions de développement et dans l’intensification de l’investissement dans l’éducation laquelle demeure l’ascenseur social le plus indiqué pour le pays».

Concrètement, son association travaille sur une dizaine de projets dont quatre retiennent particulièrement l’attention.
Le premier dénommé «permis de rêver» consiste à financer la formation des jeunes chômeurs dans les zones reculées et principalement agricoles pour l’obtention du permis de conduire. Les résultats sont spectaculaires: 90% des bénéficiaires ont trouvé un emploi après l’obtention de ce document.

Le deuxième, baptisé «Fatma» du nom d’une jeune fille rurale qui a obtenu d’excellents résultats scolaires grâce, entre autres, à l’apport de ce projet. Ce dernier, lancé en partenariat avec la Banque nationale agricole (BNA), consiste à assurer le transport rural (taxis ruraux) des écoliers dans le gouvernorat de Jendouba (nord-ouest). 1.147 écoliers bénéficieront de ce programme durant 3 ans. Des actions similaires sont engagées dans les gouvernorats du Kef, Siliana, Kébili et Mahdia. Quelque 1.285 écoliers sont transportés quotidiennement dans ces régions.

Le troisième porte sur l’organisation annuelle de la lecture. Ce concours, ouvert aux élèves des 6ème et 8ème années de l’école de base et des 1èreet 2ème secondaire, a pour but à faire aimer le livre aux jeunes générations. Ce concours, qui est à sa deuxième édition, est couronné par la distribution de prix aux 200 premiers élèves et écoliers lecteurs.

Le quatrième, dénommé «Racines» a pour but de concevoir et de financer un cycle d’excursions et de sensibilisation au profit de la population scolaire rurale. L’objectif est de les faire visiter les musées du pays et les plus beaux sites naturels du pays.

Pour Lotfi Maktouf, «nos enfants doivent savoir de quelle terre ils viennent pour mieux se mesurer au monde».

«Racines» s’est fixé comme objectif de permettre à tous les écoliers dans la tranche d’âge de 12 à 16 ans de visiter au moins une fois un ou plusieurs lieux significatifs de cette terre tunisienne. Parmi ces lieux, Almadanya a sélectionné Carthage, Dougga, Kairouan, Séjoumi, le Musée du Bardo, Tozeur, Bizerte, les parcs nationaux de Bou-Hedma, Ichkeul, Chaâmbi et Boukornine.

Et pour ne rien oublier, par delà ces projets, l’Association Almadanya présente l’avantage d’être apolitique et de ne pas refuser le partenariat ni avec le public ni avec le privé. C’est une nouvelle mentalité. Tant mieux.

 

Article original : http://www.webmanagercenter.com/magazine/societe/2013/05/27/135288/tunisie-almadanya-l-ong-qui-fait-mieux-que-le-gouvernement

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Partenariat entre la BNA et Almadanya pour le transport des écoliers en milieu rural – Kapitalis.com https://almadanya.org/en/partenariat-entre-la-bna-et-almadanya-pour-le-transport-des-ecoliers-en-milieu-rural-kapitalis-com/ Wed, 03 Apr 2013 10:49:57 +0000 http://almadanya.org/partenariat-entre-la-bna-et-almadanya-pour-le-transport-des-ecoliers-en-milieu-rural-kapitalis-com-2/ La Banque nationale agricole (BNA) s’est engagée à financer le programme «Fatma» de transport rural des écoliers dans le gouvernorat de Jendouba (nord-ouest). 1.147 écoliers bénéficieront de ce programme durant 3 ans. La convention de partenariat pour le financement de ce programme a été signée, le vendredi 29 mars, au siège du gouvernorat de Jendouba, […]

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La Banque nationale agricole (BNA) s’est engagée à financer le programme «Fatma» de transport rural des écoliers dans le gouvernorat de Jendouba (nord-ouest). 1.147 écoliers bénéficieront de ce programme durant 3 ans.

La convention de partenariat pour le financement de ce programme a été signée, le vendredi 29 mars, au siège du gouvernorat de Jendouba, par le Pdg de la BNA, Jaâfar Khatteche, et Lotfi Maktouf, président de l’association de développement Almadanya, en présence du gouverneur Samir Rwihem. Ainsi que du délégué régional du ministère de l’Education, Abdellatif Soltani, et des responsables régionaux de la BNA et d’Almadanya.

Le programme «Fatma» consiste à mettre en place une logistique de navette pour transporter les écoliers en zones rurales, en association avec les taxis ruraux.

A ce jour, Almadanya transporte quotidiennement 1.285 écolières et écoliers dans 4 gouvernorats: le Kef, Siliana, Kébili et Mahdia.

«Selon les statistiques du ministère de l’Education, 40% des écoles de la république sont rurales. Les écoliers âgés de 6 à 12 ans sont obligés de parcourir quotidiennement en moyenne 1 à 14 kilomètres à pied. Par conséquent, 70.000 écoliers abandonnent l’école chaque année. C’est le genre de statistiques qui font peur et qui doivent nous inquiéter au plus haut point. Et c’est pour cela qu’Almadanya s’est, dès sa création en juin 2011, engagée à rendre réel le droit à l’éducation», rappelle Lotfi Maktouf, qui se félicite du«véritable engagement communautaire de la BNA, banque citoyenne, dont la responsabilité sociale devrait être source d’inspiration à d’autres institutions.»

Grâce à ce nouveau partenariat avec la BNA, le volume des écoliers dont le transport (et, par conséquent, l’accès à l’éducation) est assuré va presque doubler, passant de 1.285 à 2.432.

Le partenariat BNA-Almadaya vise à étendre le programme Fatma au gouvernorat de Jendouba avec pour cible le transport quotidien de 1.147 écoliers pour les trois années scolaires 2013/2014, 2014/2015 et 2015/2016, dans un premier temps, et de pérenniser ce programme sur les prochaines années.

«A la BNA, nous sommes très conscients de notre responsabilité citoyenne envers les régions dans un souci de solidarité à la fois inter régionale et inter générationnelle. Notre première action entreprise dans le cadre de la promotion de l’éducation a commencé en 2011 avec le parrainage de l’opération Madrassati: collecte de dons pour l’aménagement et la réhabilitation de certaines écoles primaires endommagées lors de la révolution. Le droit à l’éducation doit être accessible à tous car notre avenir en dépend» a déclaré, de son côté M. Khatteche, lors de la signature de la Convention de Partenariat avec Almadanya.

I. B. (avec communiqué).

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